Lorem ipsum dolor sit amet

Partager sur: Partager sur Twitter Partager sur Facebook Partager sur Google+

"Face à ma mort", de Jean-François Callens, témoigne avec humour et réalisme d’un parcours qui n’est pas terminé.

Face à ma mort

 

Atteint d’un cancer, Jean-François Callens témoigne avec humour et réalisme d’un parcours qui n’est pas terminé.
 

Il livre comment il est aidé par la foi de l’Église, et principalement par le Catéchisme de l’Église Catholique à vivre chaque journée de la dernière étape de sa vie ici-bas, dans l’espérance et la perspective de l’au-delà.


Ce livre écrit sur un mode personnel rejoindra chaque homme puisque tous seront tôt ou tard confrontés à cette étape cruciale de la vie.

Jean-François Callens

Jean-François Callens (dit Doudou) est passé de l'aviation à l'adoration à la suite d'une expérience intérieure forte de l'amour du Pere.
Il est entré à la Communauté Catholique des Béatitudes en 1981.

 

Après avoir travaillé aux apostolats d'évangélisation de sa Communauté et à son ouverture missionaire en Asie, il exerce un ministère de ''prédication populaire'', avec une priorité pour les jeunes.
Il est marié à Evelyne, à qui est confié depuis 1990 un ministère d'accompagnement et d'écoute.

 

Du même auteur aux Éditions des Béatitudes
• Prier le chapelet avec le bon pape Jean XXIII - CD
• Face à ma mort
• Prier le chapelet avec Thérèse de Lisieux - CD

• L'amour souffle où il veut

 

Quand il a su qu’il était atteint d’une maladie incurable, Doudou a écrit un livre

"Face à ma mort", rempli d’espérance et de foi en la Résurrection.

En voici quelques lignes…

Un témoignage à lire pour ne plus avoir peur.

 

"J’aurai le trac, c’est sûr. Il n’y a pas de répétition.
Ce sera peut-être pitoyable, pathétique… Je verrai bien.

 

Reste que profondément en moi, la mort en elle-même ne me fait pas peur du tout.
D’accord ! On en reparlera quand ma pauvre carcasse tourmentée, dégradée, humiliée, approchera du moment où mon âme devra s’en séparer et la quitter.

 

Eh bien non ! En courte finale, le contrôle de mon restant de vie sera pleinement dans les mains de mon Sauveur, je ne pourrai plus en discuter.
C’est son secret.

 

J’espère intensément que mon dernier souffle sera apostolique et que je pourrai témoigner, d’une manière ou d’une autre, de l’incommensurable amour de mon Dieu.
 

Cependant, je fais miens sans vergogne ces derniers mots de Thérèse :
« Ne vous faites pas de peine, mes petites sœurs, si vous ne voyez en moi aucun signe de bonheur au moment de ma mort ; le Seigneur est bien mort victime d’amour et voyez quelle a été son agonie ! »
Bien !

Mais comment se passe le départ ?

Le temps m’est compté, je ne vais pas chercher maintenant de quoi me bricoler sur mesure des réponses anesthésiantes, qui seront emportées comme une diguette de sable aux premières vagues de l’ultime réalité.


Je ne suis pas laissé seul à devoir tracer la route qu’il me reste à parcourir jusqu’au terme unique de ma vie terrestre.
Je dispose de ma foi en Dieu, bien pauvrette, mais que je glisse de nouveau sans tarder dans celle, formidable, de l’Église ma mère.


Ne regarde pas ma misère, mais la foi de ton Église.
Tu trouveras, Seigneur, ma foi dans celle de ton Église.
"

(Extrait de Face à ma mort, EDB, 2014)

Merci aux Editions des Béatitudes

Partager sur: Partager sur Twitter Partager sur Facebook Partager sur Google+