JEUDI 10 DECEMBRE

« Consolez, consolez mon peuple, – dit votre Dieu – parlez au cœur de Jérusalem.
Proclamez que son service est accompli, que son crime est expié, qu’elle a reçu de la main du Seigneur le double pour toutes ses fautes. » (Is 40, 1-5.9-11).

Sur quelle épaule allez-vous pleurer ?

La question de la consolation fait partie de toute expérience vraiment humaine. La Bible constate d’une voix unanime qu’elle fait également partie de l’expérience authentiquement spirituelle. Impossible de chercher Dieu sans passer par des phases de désolation.

• Qui vous console quand cela va mal pour vous ?
• Comment fait-il (elle) ?

Dans quelles activités avez-vous cherché soutien et réconfort dans les périodes difficiles ?

Faites la liste des ressources et des personnes qui ont été pour vous des consolations sur le plan humain et/ou spirituel.

Mettez-la par écrit, pour ne pas oublier lors des rechutes possibles les points d’appui qui vous ont déjà permis de sortir de l’impasse. Pour certains c’est la musique, le sport, la lecture, la méditation. Pour d’autres, c’est la convivialité chaleureuse d’un moment partagé en famille, entre amis…

Isaïe est envoyé annoncer la consolation au peuple de Dieu :

À ceux qui se désolent de leurs fautes, Dieu apporte la fin des larmes de repentir. Cette consolation sur une communion d’amour retrouvé entre Dieu lui-même et ceux que le péché avait éloigné. Souvenons-nous de la béatitude de Jésus : « heureux ceux qui pleurent, car ils seront consolés ». S’attrister de son péché est donc une promesse de consolation dans la démarche du sacrement de réconciliation. Le courage de se reconnaître pécheur est source de bénédiction et de consolation !

Les sources de consolation

• La présence fraternelle. La fraternité est un baume précieux. Nous avons le pouvoir de consoler ceux qui souffrent, matériellement et spirituellement.
• L’amour familial: est une source inépuisable de consolation. Il permet de forger une histoire commune, riche de sens et d’affection.
• Le travail: avec modération, l’investissement dans les tâches du quotidien, même les plus petites est source d’équilibre et d’humanité.
• Les écritures: lire la bible permet de (re)découvrir que le peuple de Dieu a traversé bien des épreuves et qu’il a su trouvé l’espérance.
• Le pardon : le pardon est une libération. En pardonnant avec le cœur on se libère d’un poids qui assèche le cœur, on retrouve notre capacité à aimer véritablement.
• L’esprit Saint : nous change intérieurement. Il est la douceur de Dieu en action. Prier l’Esprit Saint nous apporte la douceur de la consolation divine.

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Recette pour une trentaine de pièces

Ingrédients

• 130 gr de beurre pas trop mou
• 75 gr de sucre glace
• 2 jaunes d'œufs
• Zestes de 2 citrons (bio)
• + un demi-citron de jus
• 200 gr de farine

Préparation

• Préchauffer à 150 / 160 degrés
• Pour la finition, 1 œuf entier battu et 150 grammes de sucre cristal
• Battre le sucre glace et le beurre, ensuite ajouter les jaunes, les zestes, le jus. Bien battre
• Incorporer la farine jusqu'à obtention d(une pâte ferme sans trop la travailler
• Diviser le pâton en 2 ou 3 parts égales
• Rouler chaque part pour obtenir un cylindre de 3,5 cm de diamètre et les mettre chacun dans un film alimentaire bien serré et au frais 1h30
• Après badigeonner de chaque pièce à l'oeuf battu, le rouler dans le sucre cristal
• Découper le cylindre en tranches de 1 cm (avec un fil à beurre c'est plus net)
• Placer vos rondelles sur du papier sulfurisé ou un tapis de cuisson
• Enfourner durant 12 à 15 minutes à surveiller suivant le four
• C’est cuit quand le tour commence à dorer
• Sortir et laisser refroidir
• Mettre ensuite sur une grille pour enlever l’humidité 1 demi-heure et ranger dans une boite hermétique.